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Mention de date : novembre 2009
Paru le : 18/02/2010 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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CHBS-05223 | P | Périodique | DOCUMENTATION | Indéterminé | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierAlimentation et maladie d'Alzheimer in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE, 159 (novembre 2009)
[article]
Titre : Alimentation et maladie d'Alzheimer Type de document : Article Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 466-467 Langues : Français (fre) Mots-clés : DEMENCE:ALZHEIMER MALADIE ; DEMENCE ; ALIMENTATION ; DIETETIQUE Résumé : Le risque de dénutrition est important dans la maladie d'Alzheimer, il est primordial de la prévenir dans le cadre d'une prise en charge pluridisciplinaire. A l'hôpital de jour, le patient rencontre différents professionnels et chaque entretien se déroule en présence de l'aidant. Au cours de la consultation, la diététicienne évalue les apports journaliers sur le plan calorique mais aussi l'équilibre alimentaire avec la présence des cinq groupes d'aliments. Elle utilise également des outils nécessaires au dépistage de la dénutrition (suivi du poids, albuminémie, Mini Nutritional Assessment...). En ergothérapie, la Mesure d'Indépendance Fonctionnelle, le Bilan Modulaire d'Ergothérapie, le test de Lawton, les mises en situations "écologiques" sont, pour le professionnel, autant de supports permettant d'analyser les performances de la personne âgée (élaboration d'un menu, préparation et prise du repas). L'objectif est de personnaliser au mieux la prise en charge en fonction du stade d'évolution de la maladie, des goûts, des habitudes, conditions de vie et des disponibilités de l'aidant. Les moyens mis en oeuvre viseront à solliciter le potentiel du patient, compenser ses difficultés ou ses pertes et agir sur son environnement physique et social. La formation, l'information des aidants familiaux et/ou professionnels prend ici tout son sens, l'alimentation devant être considérée comme un élément prépondérant de la prise en charge du patient atteint de maladie d'Alzheimer et ce, tout au long de son évolution. Localisation : DOCUMENTATION
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 466-467[article] Alimentation et maladie d'Alzheimer [Article] . - 2010 . - p. 466-467.
Langues : Français (fre)
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 466-467
Mots-clés : DEMENCE:ALZHEIMER MALADIE ; DEMENCE ; ALIMENTATION ; DIETETIQUE Résumé : Le risque de dénutrition est important dans la maladie d'Alzheimer, il est primordial de la prévenir dans le cadre d'une prise en charge pluridisciplinaire. A l'hôpital de jour, le patient rencontre différents professionnels et chaque entretien se déroule en présence de l'aidant. Au cours de la consultation, la diététicienne évalue les apports journaliers sur le plan calorique mais aussi l'équilibre alimentaire avec la présence des cinq groupes d'aliments. Elle utilise également des outils nécessaires au dépistage de la dénutrition (suivi du poids, albuminémie, Mini Nutritional Assessment...). En ergothérapie, la Mesure d'Indépendance Fonctionnelle, le Bilan Modulaire d'Ergothérapie, le test de Lawton, les mises en situations "écologiques" sont, pour le professionnel, autant de supports permettant d'analyser les performances de la personne âgée (élaboration d'un menu, préparation et prise du repas). L'objectif est de personnaliser au mieux la prise en charge en fonction du stade d'évolution de la maladie, des goûts, des habitudes, conditions de vie et des disponibilités de l'aidant. Les moyens mis en oeuvre viseront à solliciter le potentiel du patient, compenser ses difficultés ou ses pertes et agir sur son environnement physique et social. La formation, l'information des aidants familiaux et/ou professionnels prend ici tout son sens, l'alimentation devant être considérée comme un élément prépondérant de la prise en charge du patient atteint de maladie d'Alzheimer et ce, tout au long de son évolution. Localisation : DOCUMENTATION Sur le chemin de l'appétitus in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE, 159 (novembre 2009)
[article]
Titre : Sur le chemin de l'appétitus Type de document : Article Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 468-471 Langues : Français (fre) Mots-clés : DEMENCE:ALZHEIMER MALADIE ; ALIMENTATION ; BIENTRAITANCE Résumé : Fruit d'une collaboration interdisciplinaire du CLAN constitué par le réseau gérontologique inter établissements du Val d'Oise (REGIES-95), ce projet a vu travailler pendant trois ans 14 établissements gériatriques avec cuisiniers, agents hôteliers, aides-soignants, auxiliaires médico-psychologiques, psychologues, animateurs, diététiciens, kinésithérapeutes, gériatres, directeurs. Ce poster (support de formation) résume ce travail basé sur des constatations du quotidien permettant leur prise en compte et la diffusion d'un outil pédagogique auprès des personnels et des familles concernés par cette prise en charge. Des techniques comportementales simples autour du repas permettent une meilleure prise alimentaire individualisée sans pour autant maltraiter les résidents ni angoisser le personnel ou les familles. Le poster comporte 9 saynètes coloriées, illustrées et commentées sous forme de bande dessinée, commençant avant le repas pour s'achever au départ de la salle de restauration. Le contenu du message prend une forme positive, objectivant de bonnes conduites à tenir face à la situation illustrée pour tendre vers une prise en charge la plus idéale possible. Localisation : DOCUMENTATION
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 468-471[article] Sur le chemin de l'appétitus [Article] . - 2010 . - p. 468-471.
Langues : Français (fre)
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 468-471
Mots-clés : DEMENCE:ALZHEIMER MALADIE ; ALIMENTATION ; BIENTRAITANCE Résumé : Fruit d'une collaboration interdisciplinaire du CLAN constitué par le réseau gérontologique inter établissements du Val d'Oise (REGIES-95), ce projet a vu travailler pendant trois ans 14 établissements gériatriques avec cuisiniers, agents hôteliers, aides-soignants, auxiliaires médico-psychologiques, psychologues, animateurs, diététiciens, kinésithérapeutes, gériatres, directeurs. Ce poster (support de formation) résume ce travail basé sur des constatations du quotidien permettant leur prise en compte et la diffusion d'un outil pédagogique auprès des personnels et des familles concernés par cette prise en charge. Des techniques comportementales simples autour du repas permettent une meilleure prise alimentaire individualisée sans pour autant maltraiter les résidents ni angoisser le personnel ou les familles. Le poster comporte 9 saynètes coloriées, illustrées et commentées sous forme de bande dessinée, commençant avant le repas pour s'achever au départ de la salle de restauration. Le contenu du message prend une forme positive, objectivant de bonnes conduites à tenir face à la situation illustrée pour tendre vers une prise en charge la plus idéale possible. Localisation : DOCUMENTATION Prise en charge des troubles psychologiques et comportementaux survenant au cours des maladies démentielles d'origine dégénérative in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE, 159 (novembre 2009)
[article]
Titre : Prise en charge des troubles psychologiques et comportementaux survenant au cours des maladies démentielles d'origine dégénérative Type de document : Article Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 476-478 Langues : Français (fre) Mots-clés : DEMENCE ; DEMENCE:ALZHEIMER MALADIE ; TROUBLES COMPORTEMENTAUX ; PSYCHOLOGIE Résumé : Les troubles psychologiques et comportementaux représentent une véritable difficulté diagnostique et thérapeutique au cours des syndromes démentiels. L'étiologie peut être multifactorielle, la prise en charge compliquée et le vécu douloureux. Les auteurs décrivent les différents symptômes et insistent sur l'importance de la formation des soignants. Localisation : DOCUMENTATION
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 476-478[article] Prise en charge des troubles psychologiques et comportementaux survenant au cours des maladies démentielles d'origine dégénérative [Article] . - 2010 . - p. 476-478.
Langues : Français (fre)
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 476-478
Mots-clés : DEMENCE ; DEMENCE:ALZHEIMER MALADIE ; TROUBLES COMPORTEMENTAUX ; PSYCHOLOGIE Résumé : Les troubles psychologiques et comportementaux représentent une véritable difficulté diagnostique et thérapeutique au cours des syndromes démentiels. L'étiologie peut être multifactorielle, la prise en charge compliquée et le vécu douloureux. Les auteurs décrivent les différents symptômes et insistent sur l'importance de la formation des soignants. Localisation : DOCUMENTATION Support et outils de la communication in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE, 159 (novembre 2009)
[article]
Titre : Support et outils de la communication Type de document : Article Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 480-482 Langues : Français (fre) Mots-clés : VIEILLISSEMENT ; RELATIONS SOCIALES ; COMMUNICATION ; LANGAGE ; RELATION SOIGNANT-SOIGNE ; PERSONNE AGEE Résumé : La communication est un droit et un besoin fondamental de l'homme à tout âge. Une enquête réalisée auprès de 300 résidents en EHPAD, montre que chez eux, les besoins relationnels occupent la 1ère place, devant les besoins vitaux, psychiques et matériels. La capacité de communiquer détermine l'autonomie, l'indépendance, le bien-être général... c'est-à-dire un bon état de santé. Or le vieillissement, qu'il soit normal ou pathologique, a des conséquences sur les fonctions sensorielles et cognitives nécessaires à la communication, modifiant la place des personnes âgées dans leurs relations avec les autres. La qualité de ces relations incombe à l'utilisation d'aides techniques mais aussi au comportement de l'entourage, particulièrement dans les établissements d'accueil, où les soins consistent à accompagner jusqu'au bout de la vie. Néanmoins, la préoccupation de la communication soignant-soigné y est omniprésente. Pour évaluer la qualité de la communication et en identifier les problèmes, une équipe canadienne a élaboré un protocole (le Montreal Evaluation of Communication Questionnary in Long Term Care), avec, pour objectif, de développer des outils et stratégies adaptés aux personnes âgées. Nous l'avons utilisé en EHPAD et nos résultats corroborent ceux des canadiens, montrant que les soignants n'utilisent pratiquement aucun outil de communication autre que le langage verbal (pointage, tableau de communication, gestes, codes, dessin...). Au final, les résidents semblent passifs, ne s'exprimant le plus souvent que sur leurs besoins vitaux, et les soignants semblent avoir peu d'efforts à fournir pour communiquer. Les échanges soignants-soignés sont donc majoritairement unidirectionnels, limités en étendue et en quantité. Pourtant il est possible de favoriser la communication par des moyens matériels (appareillages, aménagements) et humains (savoir-faire et savoir-être), par exemple en cas de surdité, d'aphasie ou de démence. Ces moyens doivent être diffusés auprès de tous les intervenants qui, eux-mêmes, ont beaucoup à y gagner. Localisation : DOCUMENTATION
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 480-482[article] Support et outils de la communication [Article] . - 2010 . - p. 480-482.
Langues : Français (fre)
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 480-482
Mots-clés : VIEILLISSEMENT ; RELATIONS SOCIALES ; COMMUNICATION ; LANGAGE ; RELATION SOIGNANT-SOIGNE ; PERSONNE AGEE Résumé : La communication est un droit et un besoin fondamental de l'homme à tout âge. Une enquête réalisée auprès de 300 résidents en EHPAD, montre que chez eux, les besoins relationnels occupent la 1ère place, devant les besoins vitaux, psychiques et matériels. La capacité de communiquer détermine l'autonomie, l'indépendance, le bien-être général... c'est-à-dire un bon état de santé. Or le vieillissement, qu'il soit normal ou pathologique, a des conséquences sur les fonctions sensorielles et cognitives nécessaires à la communication, modifiant la place des personnes âgées dans leurs relations avec les autres. La qualité de ces relations incombe à l'utilisation d'aides techniques mais aussi au comportement de l'entourage, particulièrement dans les établissements d'accueil, où les soins consistent à accompagner jusqu'au bout de la vie. Néanmoins, la préoccupation de la communication soignant-soigné y est omniprésente. Pour évaluer la qualité de la communication et en identifier les problèmes, une équipe canadienne a élaboré un protocole (le Montreal Evaluation of Communication Questionnary in Long Term Care), avec, pour objectif, de développer des outils et stratégies adaptés aux personnes âgées. Nous l'avons utilisé en EHPAD et nos résultats corroborent ceux des canadiens, montrant que les soignants n'utilisent pratiquement aucun outil de communication autre que le langage verbal (pointage, tableau de communication, gestes, codes, dessin...). Au final, les résidents semblent passifs, ne s'exprimant le plus souvent que sur leurs besoins vitaux, et les soignants semblent avoir peu d'efforts à fournir pour communiquer. Les échanges soignants-soignés sont donc majoritairement unidirectionnels, limités en étendue et en quantité. Pourtant il est possible de favoriser la communication par des moyens matériels (appareillages, aménagements) et humains (savoir-faire et savoir-être), par exemple en cas de surdité, d'aphasie ou de démence. Ces moyens doivent être diffusés auprès de tous les intervenants qui, eux-mêmes, ont beaucoup à y gagner. Localisation : DOCUMENTATION "Vers une démarche de bientraitance en institutions de soins" in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE, 159 (novembre 2009)
[article]
Titre : "Vers une démarche de bientraitance en institutions de soins" Type de document : Article Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 488-491 Langues : Français (fre) Mots-clés : INSTITUTION MEDICO-SOCIALE ; BIENTRAITANCE ; PERSONNE AGEE Résumé : La bientraitance des personnes âgées en institution ne peut trouver de définition statique ou figée. Parler de bientraitance signifie que le professionnel ou l'institution est dans une démarche continue de réflexion sur ses pratiques et d'amélioration de celles-ci. La bientraitance est un cheminement, pas un acquis. Eviter tout acte de maltraitance est loin de suffire pour que l'on puisse parler de bientraitance. Il s'agit pour moi d'une démarche double qui porte tout d'abord sur les valeurs qui porteront le travail puis sur la manière de les concrétiser au quotidien. Ces valeurs devront s'articuler autour des notions de respect, de tolérance, d'individualisation, de soins globaux, d'autonomie, de préservation des capacités et de bien-être. Il est ici question du sens du travail, de questionnement des automatismes pour offrir aux résidents un soutien et un accompagnement personnalisés. Dans le travail de tous les jours, les professionnels accompagneront, aideront, écouteront, souriront, riront. Bien sûr ils donneront des soins, donneront à manger, aideront à la réalisation des différents actes de la vie quotidienne, mais avec la conscience de dépasser l'acte pour être en relation avec le résident, pour lui apporter plus que le soin, plus que la nourriture, plus que la propreté. Ils souffriront peut-être aussi, car la bientraitance demande une réelle implication émotionnelle dans son travail, elle demande de se laisser toucher et émouvoir par l'autre. Mais tous, résidents et personnels, y gagneront en satisfaction, en estime et en fierté. Localisation : DOCUMENTATION
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 488-491[article] "Vers une démarche de bientraitance en institutions de soins" [Article] . - 2010 . - p. 488-491.
Langues : Français (fre)
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 488-491
Mots-clés : INSTITUTION MEDICO-SOCIALE ; BIENTRAITANCE ; PERSONNE AGEE Résumé : La bientraitance des personnes âgées en institution ne peut trouver de définition statique ou figée. Parler de bientraitance signifie que le professionnel ou l'institution est dans une démarche continue de réflexion sur ses pratiques et d'amélioration de celles-ci. La bientraitance est un cheminement, pas un acquis. Eviter tout acte de maltraitance est loin de suffire pour que l'on puisse parler de bientraitance. Il s'agit pour moi d'une démarche double qui porte tout d'abord sur les valeurs qui porteront le travail puis sur la manière de les concrétiser au quotidien. Ces valeurs devront s'articuler autour des notions de respect, de tolérance, d'individualisation, de soins globaux, d'autonomie, de préservation des capacités et de bien-être. Il est ici question du sens du travail, de questionnement des automatismes pour offrir aux résidents un soutien et un accompagnement personnalisés. Dans le travail de tous les jours, les professionnels accompagneront, aideront, écouteront, souriront, riront. Bien sûr ils donneront des soins, donneront à manger, aideront à la réalisation des différents actes de la vie quotidienne, mais avec la conscience de dépasser l'acte pour être en relation avec le résident, pour lui apporter plus que le soin, plus que la nourriture, plus que la propreté. Ils souffriront peut-être aussi, car la bientraitance demande une réelle implication émotionnelle dans son travail, elle demande de se laisser toucher et émouvoir par l'autre. Mais tous, résidents et personnels, y gagneront en satisfaction, en estime et en fierté. Localisation : DOCUMENTATION Rééducation des troubles du langage de la personne âgée in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE, 159 (novembre 2009)
[article]
Titre : Rééducation des troubles du langage de la personne âgée Type de document : Article Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 498-500 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE ; TROUBLES DU LANGAGE ; LANGAGE ; COMMUNICATION ; VIEILLISSEMENT ; ORTHOPHONIE ; REEDUCATION Résumé : Tout un chacun peut remarquer qu'en vieillissant normalement les aptitudes physiques changent (plus grande lenteur, réduction de la mobilité, baisse de la vision, de l'audition, etc.). Les capacités intellectuelles et le langage évoluent aussi même si ce processus est moins flagrant et moins visible. Certains pathologies de la personne âgée intensifient ces baisses et leurs symptômes spécifiques entravent la communication. L'orthophoniste, reconnu comme thérapeute de la parole et du langage, est donc sollicitée par le médecin généraliste ou le neurologue pour entreprendre une prise en charge sous prescription médicale. La rééducation a pour but de maintenir le plus longtemps possible la communication du patient avec son entourage et réciproquement. Aussi, elle permet de sauvegarder une certaine autonomie verbale. Son intervention se répartit donc sur deux axes : Rééducation des troubles du langage du patient et Aide des proches à s'adapter aux difficultés du patient. Localisation : DOCUMENTATION
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 498-500[article] Rééducation des troubles du langage de la personne âgée [Article] . - 2010 . - p. 498-500.
Langues : Français (fre)
in REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE > 159 (novembre 2009) . - p. 498-500
Mots-clés : PERSONNE AGEE ; TROUBLES DU LANGAGE ; LANGAGE ; COMMUNICATION ; VIEILLISSEMENT ; ORTHOPHONIE ; REEDUCATION Résumé : Tout un chacun peut remarquer qu'en vieillissant normalement les aptitudes physiques changent (plus grande lenteur, réduction de la mobilité, baisse de la vision, de l'audition, etc.). Les capacités intellectuelles et le langage évoluent aussi même si ce processus est moins flagrant et moins visible. Certains pathologies de la personne âgée intensifient ces baisses et leurs symptômes spécifiques entravent la communication. L'orthophoniste, reconnu comme thérapeute de la parole et du langage, est donc sollicitée par le médecin généraliste ou le neurologue pour entreprendre une prise en charge sous prescription médicale. La rééducation a pour but de maintenir le plus longtemps possible la communication du patient avec son entourage et réciproquement. Aussi, elle permet de sauvegarder une certaine autonomie verbale. Son intervention se répartit donc sur deux axes : Rééducation des troubles du langage du patient et Aide des proches à s'adapter aux difficultés du patient. Localisation : DOCUMENTATION