Centre de Doc GHBS
Mots-clés
Documents disponibles dans cette catégorie (1299)
Ajouter le résultat dans votre panier
Visionner les documents numériques
Affiner la recherche
Quel déploiement du Programme national de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus en France en 2022 ? in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE, 5 (5 mars 2024)
[article]
Titre : Quel déploiement du Programme national de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus en France en 2022 ? Type de document : Article Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 82-91 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCERS ; COL UTERUS ; TUMEUR COL UTERUS ; DEPISTAGE ; PAPILLOMAVIRUS ; SANTE PUBLIQUE Résumé : Chaque année en France, le cancer du col de l’utérus touche près de 3 000 nouvelles femmes et cause 1 100 décès, alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué que ce type de cancer pouvait être éradiqué grâce au dépistage et à la vaccination contre le papillomavirus humain. Depuis 2018, le dépistage du cancer du col de l’utérus en France repose sur le Programme national de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus (PNDOCCU). L’objectif de ce travail était d’observer les pratiques de dépistage après la mise en place du PNDOCCU et l’intégration du test HPV dans le dépistage en 2020 (pour les femmes âgées de 30 à 65 ans) à partir de données de vie réelle. Accessible uniquement depuis les sites du GHBS : Non En ligne : http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2024/5/pdf/2024_5_2.pdf
in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE > 5 (5 mars 2024) . - p. 82-91[article] Quel déploiement du Programme national de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus en France en 2022 ? [Article] . - 2024 . - p. 82-91.
Langues : Français (fre)
in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE > 5 (5 mars 2024) . - p. 82-91
Mots-clés : CANCERS ; COL UTERUS ; TUMEUR COL UTERUS ; DEPISTAGE ; PAPILLOMAVIRUS ; SANTE PUBLIQUE Résumé : Chaque année en France, le cancer du col de l’utérus touche près de 3 000 nouvelles femmes et cause 1 100 décès, alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué que ce type de cancer pouvait être éradiqué grâce au dépistage et à la vaccination contre le papillomavirus humain. Depuis 2018, le dépistage du cancer du col de l’utérus en France repose sur le Programme national de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus (PNDOCCU). L’objectif de ce travail était d’observer les pratiques de dépistage après la mise en place du PNDOCCU et l’intégration du test HPV dans le dépistage en 2020 (pour les femmes âgées de 30 à 65 ans) à partir de données de vie réelle. Accessible uniquement depuis les sites du GHBS : Non En ligne : http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2024/5/pdf/2024_5_2.pdf Vers une meilleure estimation des taux de participation au Programme national français de dépistage organisé du cancer colorectal in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE, 5 (5 mars 2024)
[article]
Titre : Vers une meilleure estimation des taux de participation au Programme national français de dépistage organisé du cancer colorectal Type de document : Article Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 70-81 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCERS ; COLON ; TUMEUR COLON ; RECTUM ; TUMEUR RECTUM ; DEPISTAGE ; SANTE PUBLIQUE Résumé : Le Programme national de dépistage organisé du cancer colorectal (PNDOCCR) permet aux personnes de 50 à 74 ans d’effectuer, tous les deux ans, un test de recherche de sang occulte dans les selles, sur invitation. Certaines personnes en sont exclues, notamment celles ayant bénéficié d’une coloscopie précédemment. Chaque année, Santé publique France publie les taux d’exclusion et de participation au programme à partir des données des centres régionaux de coordination des dépistages des cancers (CRCDC). L’information recueillie sur les actes réalisés étant partielle, les taux d’exclusion sont sous-évalués et très variables d’un département à l’autre. L’objectif de cet article était de les estimer à partir des données du Système national des données de santé (SNDS) et d’évaluer l’impact de cette estimation sur les taux de participation. En 2018, le taux d’exclusion national d’après le SNDS atteignait 19,2% (de 10,8% à 24,7% selon les départements) et le taux de participation était de 39,8% (37,1% d’après les données CRCDC). Une meilleure estimation des taux d’exclusion permet d’augmenter mécaniquement les taux de participation. Mais même recalculés plus précisément, ils restent trop faibles en France, toujours en deçà du taux minimum recommandé par l’Union européenne (45%) et des disparités territoriales demeurent. Accessible uniquement depuis les sites du GHBS : Non En ligne : http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2024/5/pdf/2024_5_1.pdf
in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE > 5 (5 mars 2024) . - p. 70-81[article] Vers une meilleure estimation des taux de participation au Programme national français de dépistage organisé du cancer colorectal [Article] . - 2024 . - p. 70-81.
Langues : Français (fre)
in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE > 5 (5 mars 2024) . - p. 70-81
Mots-clés : CANCERS ; COLON ; TUMEUR COLON ; RECTUM ; TUMEUR RECTUM ; DEPISTAGE ; SANTE PUBLIQUE Résumé : Le Programme national de dépistage organisé du cancer colorectal (PNDOCCR) permet aux personnes de 50 à 74 ans d’effectuer, tous les deux ans, un test de recherche de sang occulte dans les selles, sur invitation. Certaines personnes en sont exclues, notamment celles ayant bénéficié d’une coloscopie précédemment. Chaque année, Santé publique France publie les taux d’exclusion et de participation au programme à partir des données des centres régionaux de coordination des dépistages des cancers (CRCDC). L’information recueillie sur les actes réalisés étant partielle, les taux d’exclusion sont sous-évalués et très variables d’un département à l’autre. L’objectif de cet article était de les estimer à partir des données du Système national des données de santé (SNDS) et d’évaluer l’impact de cette estimation sur les taux de participation. En 2018, le taux d’exclusion national d’après le SNDS atteignait 19,2% (de 10,8% à 24,7% selon les départements) et le taux de participation était de 39,8% (37,1% d’après les données CRCDC). Une meilleure estimation des taux d’exclusion permet d’augmenter mécaniquement les taux de participation. Mais même recalculés plus précisément, ils restent trop faibles en France, toujours en deçà du taux minimum recommandé par l’Union européenne (45%) et des disparités territoriales demeurent. Accessible uniquement depuis les sites du GHBS : Non En ligne : http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2024/5/pdf/2024_5_1.pdf Cancer du sein et surrisque cardiovasculaire : la double peine in LA PRESSE MEDICALE FORMATION, 6 (décembre 2023)
[article]
Titre : Cancer du sein et surrisque cardiovasculaire : la double peine : Comment optimiser le parcours de soins ? Le point de vue du cardiologue Type de document : Article Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 514-521 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEUR ; SEIN ; CANCERS ; TUMEUR SEIN ; MALADIE CARDIOVASCULAIRE ; PREVENTION ; ACTIVITE PHYSIQUE ADAPTEE Résumé : Une femme sur huit en France aura un cancer du sein durant son existence, l'incidence est forte et représente 59 000 nouveaux cas chaque année. La moyenne d'âge diagnostique est de 63 ans, mais l'incidence augmente chez les 30-50 ans. Le pronostic face au cancer diagnostiqué précocement s'améliore grâce aux nouvelles thérapeutiques anticancéreuses, mais le risque cardiovasculaire (CV) grève le pronostic de ces patients à long terme. La prise en charge des patientes atteintes d'un cancer du sein se doit en 2023 d'être globale, et non plus organocentrée sur le sein. Plusieurs phénomènes s'associent (facteurs de risque cardiovasculaire, cancer, traitement du cancer) pour majorer le risque CV de ces patients. Leur prise en charge doit donc inclurela modification en profondeur de leur mode de vie et la surveillance CV au long court. La pratique d'une activité physique adaptée (APA) est indispensable, améliorant la qualité de vie (QDV), la survie, et diminuant le risque d'ECV. L'APA doit être prescrite dès l'annonce diagnostique du cancer, pour améliorer capacité cardiorespiratoire des patientes mais il est souvent difficile dans notre expérience de savoir comment et où orienter la patiente. L'oncocardioréhabilitation (OCR) est un concept novateur de prise en charge pluridisciplinaire institutionnelle en centre de réadaptation CV. Les équipes rompues à la prise en charge de patients ayant des cardiopathies complexes, savent monitorer la reprise d'activité physique (AP), suivre les progrès des patientes, les éduquer à leur suivi CV (éducation FDRCV et suivi échocardiographique) et les motiver à maintenir leurs efforts pour modifier leur mode de vie, sur le long terme ! L'expertise des cardiologues en rééducation cardiovasculaire permet également de dépister des cardiopathies précoces. Dans notre expérience, il s'agit d'un complément de traitement apprécié par les patientes et leurs oncologues, désigné comme un tremplin vers la normalité fonctionnelle et le diminution d'ECV chez les patientes atteintes d'un cancer du sein. Des recommandations permettraient une généralisation de cette prise en charge multimodale et d'établir un modèle de financement. Localisation : DOCUMENTATION
in LA PRESSE MEDICALE FORMATION > 6 (décembre 2023) . - p. 514-521[article] Cancer du sein et surrisque cardiovasculaire : la double peine : Comment optimiser le parcours de soins ? Le point de vue du cardiologue [Article] . - 2023 . - p. 514-521.
Langues : Français (fre)
in LA PRESSE MEDICALE FORMATION > 6 (décembre 2023) . - p. 514-521
Mots-clés : TUMEUR ; SEIN ; CANCERS ; TUMEUR SEIN ; MALADIE CARDIOVASCULAIRE ; PREVENTION ; ACTIVITE PHYSIQUE ADAPTEE Résumé : Une femme sur huit en France aura un cancer du sein durant son existence, l'incidence est forte et représente 59 000 nouveaux cas chaque année. La moyenne d'âge diagnostique est de 63 ans, mais l'incidence augmente chez les 30-50 ans. Le pronostic face au cancer diagnostiqué précocement s'améliore grâce aux nouvelles thérapeutiques anticancéreuses, mais le risque cardiovasculaire (CV) grève le pronostic de ces patients à long terme. La prise en charge des patientes atteintes d'un cancer du sein se doit en 2023 d'être globale, et non plus organocentrée sur le sein. Plusieurs phénomènes s'associent (facteurs de risque cardiovasculaire, cancer, traitement du cancer) pour majorer le risque CV de ces patients. Leur prise en charge doit donc inclurela modification en profondeur de leur mode de vie et la surveillance CV au long court. La pratique d'une activité physique adaptée (APA) est indispensable, améliorant la qualité de vie (QDV), la survie, et diminuant le risque d'ECV. L'APA doit être prescrite dès l'annonce diagnostique du cancer, pour améliorer capacité cardiorespiratoire des patientes mais il est souvent difficile dans notre expérience de savoir comment et où orienter la patiente. L'oncocardioréhabilitation (OCR) est un concept novateur de prise en charge pluridisciplinaire institutionnelle en centre de réadaptation CV. Les équipes rompues à la prise en charge de patients ayant des cardiopathies complexes, savent monitorer la reprise d'activité physique (AP), suivre les progrès des patientes, les éduquer à leur suivi CV (éducation FDRCV et suivi échocardiographique) et les motiver à maintenir leurs efforts pour modifier leur mode de vie, sur le long terme ! L'expertise des cardiologues en rééducation cardiovasculaire permet également de dépister des cardiopathies précoces. Dans notre expérience, il s'agit d'un complément de traitement apprécié par les patientes et leurs oncologues, désigné comme un tremplin vers la normalité fonctionnelle et le diminution d'ECV chez les patientes atteintes d'un cancer du sein. Des recommandations permettraient une généralisation de cette prise en charge multimodale et d'établir un modèle de financement. Localisation : DOCUMENTATION Oncogénétique in LA PRESSE MEDICALE FORMATION, 6 (décembre 2023)
[article]
Titre : Oncogénétique : Dossier Type de document : Article Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 527-565 Langues : Français (fre) Mots-clés : ONCOLOGIE ; CANCERS ; GENETIQUE Résumé : Sommaire :
- généralités sur l'oncogénétique
- analyse génétique tumorale : intérêt, principales indications et risque d'identification de variants constitutionnels
- prédispositions génétiques aux cancers du sein et de l'ovaire : quand y penser ? comment les rechercher ? pour quelle prise en charge ?
- prédispositions héréditaires aux tumeurs digestives
- diagnostic anténatal en oncogénétiqueLocalisation : DOCUMENTATION
in LA PRESSE MEDICALE FORMATION > 6 (décembre 2023) . - p. 527-565[article] Oncogénétique : Dossier [Article] . - 2023 . - p. 527-565.
Langues : Français (fre)
in LA PRESSE MEDICALE FORMATION > 6 (décembre 2023) . - p. 527-565
Mots-clés : ONCOLOGIE ; CANCERS ; GENETIQUE Résumé : Sommaire :
- généralités sur l'oncogénétique
- analyse génétique tumorale : intérêt, principales indications et risque d'identification de variants constitutionnels
- prédispositions génétiques aux cancers du sein et de l'ovaire : quand y penser ? comment les rechercher ? pour quelle prise en charge ?
- prédispositions héréditaires aux tumeurs digestives
- diagnostic anténatal en oncogénétiqueLocalisation : DOCUMENTATION Polypes de vessie in REVUE DU PRATICIEN MEDECINE GENERALE, 1082 (décembre 2023)
[article]
Titre : Polypes de vessie Type de document : Article Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 520-528 Langues : Français (fre) Mots-clés : VESSIE ; CANCERS ; TUMEUR VESSIE Résumé : Le terme "polype de vessie" est une expression impropre généralement utilisé pour décrire les tumeurs n'infiltrant pas le muscle (tumeurs de vessie non invasives du muscle, TVNIM). Il cache en réalité une maladie toujours cancéreuse et parfois grave. La découverte d'un polype de vessie doit conduire à une prise en charge urologique spécialisée. Localisation : DOCUMENTATION
in REVUE DU PRATICIEN MEDECINE GENERALE > 1082 (décembre 2023) . - p. 520-528[article] Polypes de vessie [Article] . - 2023 . - p. 520-528.
Langues : Français (fre)
in REVUE DU PRATICIEN MEDECINE GENERALE > 1082 (décembre 2023) . - p. 520-528
Mots-clés : VESSIE ; CANCERS ; TUMEUR VESSIE Résumé : Le terme "polype de vessie" est une expression impropre généralement utilisé pour décrire les tumeurs n'infiltrant pas le muscle (tumeurs de vessie non invasives du muscle, TVNIM). Il cache en réalité une maladie toujours cancéreuse et parfois grave. La découverte d'un polype de vessie doit conduire à une prise en charge urologique spécialisée. Localisation : DOCUMENTATION "Sens et motions" : une thérapie médiatisée de support en oncologie in SOINS, 881 (décembre 2023)
PermalinkLa prise en charge gériatrique dans les cancers ORL in REPERES EN GERIATRIE, 218 (novembre 2023)
PermalinkSuspicion de thymome in SOINS GERONTOLOGIE, 164 (novembre - décembre 2023)
PermalinkÉpidémiologie, facteurs de risque, prévention et dépistage des cancers in REVUE DU PRATICIEN, 9 (novembre 2023)
PermalinkJusqu'où aller en oncogériatrie ? in REVUE DU PRATICIEN MEDECINE GENERALE, 1081 (novembre 2023)
PermalinkDysfonctions sexuelles après traitement du cancer de la prostate in REVUE DU PRATICIEN, 8 (octobre 2023)
PermalinkLes CAR-T cells, une thérapie innovante in REVUE DE L'INFIRMIERE, 294 (octobre 2023)
PermalinkCancer de la vessie infiltrant le muscle in REVUE DU PRATICIEN MEDECINE GENERALE, 1080 (octobre 2023)
PermalinkObstacles, ressources et contrastes dans les parcours de soins complexes : le cas du cancer chez les personnes vivant avec un trouble psychique sévère in QUESTIONS D'ECONOMIE DE LA SANTE, 281 (septembre 2023)
PermalinkÉvaluation du dommage corporel des cancers mammaires in REVUE DE MEDECINE LEGALE, 3 (septembre 2023)
PermalinkLa douleur cancéreuse, un enjeu pour le rôle propre infirmier in SOINS, 877 (juillet-août 2023)
PermalinkExpérience de transition vécue par les patients avec une maladie oncologique lors de la pose d'un dispositif d'accès veineux implantable : une recherche exploratoire in RECHERCHE EN SOINS INFIRMIERS, 152 (mars 2023)
PermalinkProduction des préparations injectables anticancéreuses in GESTIONS HOSPITALIERES, 627 (juin - juillet 2023)
PermalinkParticipation au programme de dépistage organisé du cancer du sein entre 2005 et 2021 en France in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE, 14 (11 juillet 2023)
PermalinkPremiers indicateurs de performance du programme de dépistage du cancer colorectal (participation, tests non analysables, tests positifs) in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE, 14 (11 juillet 2023)
PermalinkAccompagner les frères et sœurs d'un enfant atteint de cancer in CAHIERS DE LA PUERICULTRICE, 367 (mai 2023)
PermalinkImpact de la crise sanitaire liée à la Covid-19 sur l’incidence des cancers en France en 2020 et 2021 : première évaluation à partir des variations temporelles du nombre de patients hospitalisés pour un nouveau cancer in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE, 12-13 (4 juillet 2023)
PermalinkIncidence des principaux cancers en France métropolitaine en 2023 et tendances depuis 1990 in BULLETIN EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE, 12-13 (4 juillet 2023)
PermalinkLymphome de Hodgkin in REVUE DU PRATICIEN, 6 (juin 2023)
PermalinkCancer et préservation de la fertilité in REVUE DU PRATICIEN, 5 (mai 2023)
Permalink