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Mention de date : février 2017
Paru le : 27/02/2017 |
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97 - février 2017 [Revue] . - 2017. Langues : Français (fre)
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CHBS09295 | P | Périodique | DOCUMENTATION | Indéterminé | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierL'accompagnement du deuil du conjoint chez le sujet âgé par l'intégration du Cycle de la Vie in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE, 97 (février 2017)
[article]
Titre : L'accompagnement du deuil du conjoint chez le sujet âgé par l'intégration du Cycle de la Vie Type de document : Article Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 37-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE ; COUPLE ; DEUIL ; PSYCHOTHERAPIE Résumé : Le deuil d'un conjoint est une expérience qui peut induire une forte comorbidité chez la personne âgée. De là, l'intérêt de considérer comment la psychothérapie Intégration du Cycle de la Vie (ICV) ou Lifespan Integration peut diminuer, par un nouvel équilibre entre le passé et le présent, la détresse et l'expérience de perte ressentie. À la suite d'une revue de la littérature sur le deuil du conjoint chez le sujet âgé et ses conséquences physiques et psychologiques, l'utilisation de la psychothérapie ICV sera mise en avant en illustrant par un cas clinique les éléments pivots du processus thérapeutique, plus particulièrement les effets de la répétition de la ligne du temps du patient. Localisation : DOCUMENTATION
in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE > 97 (février 2017) . - p. 37-41[article] L'accompagnement du deuil du conjoint chez le sujet âgé par l'intégration du Cycle de la Vie [Article] . - 2017 . - p. 37-41.
Langues : Français (fre)
in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE > 97 (février 2017) . - p. 37-41
Mots-clés : PERSONNE AGEE ; COUPLE ; DEUIL ; PSYCHOTHERAPIE Résumé : Le deuil d'un conjoint est une expérience qui peut induire une forte comorbidité chez la personne âgée. De là, l'intérêt de considérer comment la psychothérapie Intégration du Cycle de la Vie (ICV) ou Lifespan Integration peut diminuer, par un nouvel équilibre entre le passé et le présent, la détresse et l'expérience de perte ressentie. À la suite d'une revue de la littérature sur le deuil du conjoint chez le sujet âgé et ses conséquences physiques et psychologiques, l'utilisation de la psychothérapie ICV sera mise en avant en illustrant par un cas clinique les éléments pivots du processus thérapeutique, plus particulièrement les effets de la répétition de la ligne du temps du patient. Localisation : DOCUMENTATION La chute chez le sujet âgé : de l'impact psychologique au travail psychique in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE, 97 (février 2017)
[article]
Titre : La chute chez le sujet âgé : de l'impact psychologique au travail psychique Type de document : Article Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 42-50 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE ; ACCIDENT:CHUTE ; PSYCHOLOGIE Résumé : La chute chez la personne âgée est un évènement fréquent considéré comme un problème de santé publique. Elle a des conséquences à court et/ou à long terme sur l'intégrité physique et psychique du sujet âgé et elle est liée à plusieurs facteurs intrinsèques et extrinsèques. L'expérience de la chute entraîne une douleur corporelle, mais aussi une douleur psychique, une souffrance. L'impact psychologique de la chute met en jeu différents éléments tels que : la confrontation à la castration, l'atteinte narcissique et objectale, associées à l'évocation et à l'élaboration de la perte, conduisant ou non au "travail de deuil". En cas d'échec de ce dernier, elle peut s'inscrire comme un évènement traumatique pour le sujet âgé. Aussi, l'élaboration psychique et la question du sens sont mises en jeu. À travers des vignettes cliniques tirées de trois rencontres avec des personnes âgées résidant dans un établissement médico-social (EHPAD), nous tenterons de montrer l'impact psychologique de la chute et nous proposerons des hypothèses sur les processus psychiques en jeu. Localisation : DOCUMENTATION
in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE > 97 (février 2017) . - p. 42-50[article] La chute chez le sujet âgé : de l'impact psychologique au travail psychique [Article] . - 2017 . - p. 42-50.
Langues : Français (fre)
in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE > 97 (février 2017) . - p. 42-50
Mots-clés : PERSONNE AGEE ; ACCIDENT:CHUTE ; PSYCHOLOGIE Résumé : La chute chez la personne âgée est un évènement fréquent considéré comme un problème de santé publique. Elle a des conséquences à court et/ou à long terme sur l'intégrité physique et psychique du sujet âgé et elle est liée à plusieurs facteurs intrinsèques et extrinsèques. L'expérience de la chute entraîne une douleur corporelle, mais aussi une douleur psychique, une souffrance. L'impact psychologique de la chute met en jeu différents éléments tels que : la confrontation à la castration, l'atteinte narcissique et objectale, associées à l'évocation et à l'élaboration de la perte, conduisant ou non au "travail de deuil". En cas d'échec de ce dernier, elle peut s'inscrire comme un évènement traumatique pour le sujet âgé. Aussi, l'élaboration psychique et la question du sens sont mises en jeu. À travers des vignettes cliniques tirées de trois rencontres avec des personnes âgées résidant dans un établissement médico-social (EHPAD), nous tenterons de montrer l'impact psychologique de la chute et nous proposerons des hypothèses sur les processus psychiques en jeu. Localisation : DOCUMENTATION La vision dans l'exploration de la fragilité chez le sujet âgé in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE, 97 (février 2017)
[article]
Titre : La vision dans l'exploration de la fragilité chez le sujet âgé Type de document : Article Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 51-57 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE ; VISION ; TROUBLES VISION ; AUTONOMIE Résumé : La fragilité est un syndrome clinique qui expose à la survenue d'évènements péjoratifs, tels que la perte d'autonomie, institutionnalisation et surmortalité. Elle concernerait en Europe 25 à 50% des sujets de plus de 85 ans. La fragilité peut être expliquée par plusieurs facteurs tels que les troubles nutritionnels, la sédentarité ou encore les troubles sensoriels et notamment visuels. En France, la prévalence de la déficience visuelle augmente avec l'âge à partir de 60 ans ; elle atteint 23 à 38% à 90 ans. Une déficience visuelle acquise, même légère, est associée à un risque de chute et de perte d'autonomie chez le sujet âgé. Nous présentons une stratégie de dépistage de la déficience visuelle au sein de "l'Hôpital de jour d'évaluation des fragilités et de prévention de la dépendance" du CHU de Toulouse. D'après les données ophtalmologiques de 1 425 patients primo-évalués entre octobre 2011 et octobre 2014, 42% avaient un trouble de la vision de loin ou de près, ou des anomalies à la grille d'Amsler. Les résultats montrent qu'une vision anormale est associée de façon indépendante à un âge plus élevé, à un niveau éducatif moindre, à de moindres performances cognitives et à un moindre degré d'autonomie. Du fait de la prévalence élevée des troubles visuels dans la population de sujets âgées et des risques associés, leur dépistage apparaît essentiel dans cette population. Localisation : DOCUMENTATION
in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE > 97 (février 2017) . - p. 51-57[article] La vision dans l'exploration de la fragilité chez le sujet âgé [Article] . - 2017 . - p. 51-57.
Langues : Français (fre)
in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE > 97 (février 2017) . - p. 51-57
Mots-clés : PERSONNE AGEE ; VISION ; TROUBLES VISION ; AUTONOMIE Résumé : La fragilité est un syndrome clinique qui expose à la survenue d'évènements péjoratifs, tels que la perte d'autonomie, institutionnalisation et surmortalité. Elle concernerait en Europe 25 à 50% des sujets de plus de 85 ans. La fragilité peut être expliquée par plusieurs facteurs tels que les troubles nutritionnels, la sédentarité ou encore les troubles sensoriels et notamment visuels. En France, la prévalence de la déficience visuelle augmente avec l'âge à partir de 60 ans ; elle atteint 23 à 38% à 90 ans. Une déficience visuelle acquise, même légère, est associée à un risque de chute et de perte d'autonomie chez le sujet âgé. Nous présentons une stratégie de dépistage de la déficience visuelle au sein de "l'Hôpital de jour d'évaluation des fragilités et de prévention de la dépendance" du CHU de Toulouse. D'après les données ophtalmologiques de 1 425 patients primo-évalués entre octobre 2011 et octobre 2014, 42% avaient un trouble de la vision de loin ou de près, ou des anomalies à la grille d'Amsler. Les résultats montrent qu'une vision anormale est associée de façon indépendante à un âge plus élevé, à un niveau éducatif moindre, à de moindres performances cognitives et à un moindre degré d'autonomie. Du fait de la prévalence élevée des troubles visuels dans la population de sujets âgées et des risques associés, leur dépistage apparaît essentiel dans cette population. Localisation : DOCUMENTATION Le comportement d'automédication chez les plus de 65 ans : une étude qualitative en médecine générale in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE, 97 (février 2017)
[article]
Titre : Le comportement d'automédication chez les plus de 65 ans : une étude qualitative en médecine générale Type de document : Article Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 63-69 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE ; MEDICAMENT Résumé : L'automédication est utilisée par 80% des adultes de la population française qui désirent participer activement à leur santé. Internet attire 71% des patients soucieux de se renseigner sur leur santé. Les patients utilisent des médicaments qu'ils peuvent acheter sans prescription ou antérieurement prescrits, inutilisés et conservés, ce qui les exposent à des risques importants de mésusage. L'objectif principal de cette étude était de répertorier les différents comportements d'automédication des sujets âgés. Pour cela, une étude qualitative par entretiens semi-directifs a été conduite sur des patients de plus de 65 ans en ambulatoire. Trois cent quarante patients ont été inclus dans l'étude. Le recours à l'automédication était subordonné à la connaissance antérieure du symptôme (100% des cas). Douleurs (100% des cas), mal de tête (46% des cas) et rhume (46% des cas) dominaient les motifs de recours à cette pratique. La confrontation à un symptôme inconnu amenait les patients à consulter leur médecin (100% des cas). L'automédication était un réflexe et symptomatique pour 69% des patients. Internet était cité par 85% des patients comme source d'information santé, cependant seuls 39% des patients étaient préoccupés par la fiabilité des sites consultés. La possibilité d'achat de médicaments en supermarché était préférée (77% des cas) à l'achat de médicaments sur Internet (15% des cas). Le paracétamol était le médicament le plus utilisé. Quarante-sept pour cent des sujets étaient persuadés de l'innocuité des médicaments d'automédication. Localisation : DOCUMENTATION
in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE > 97 (février 2017) . - p. 63-69[article] Le comportement d'automédication chez les plus de 65 ans : une étude qualitative en médecine générale [Article] . - 2017 . - p. 63-69.
Langues : Français (fre)
in NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE > 97 (février 2017) . - p. 63-69
Mots-clés : PERSONNE AGEE ; MEDICAMENT Résumé : L'automédication est utilisée par 80% des adultes de la population française qui désirent participer activement à leur santé. Internet attire 71% des patients soucieux de se renseigner sur leur santé. Les patients utilisent des médicaments qu'ils peuvent acheter sans prescription ou antérieurement prescrits, inutilisés et conservés, ce qui les exposent à des risques importants de mésusage. L'objectif principal de cette étude était de répertorier les différents comportements d'automédication des sujets âgés. Pour cela, une étude qualitative par entretiens semi-directifs a été conduite sur des patients de plus de 65 ans en ambulatoire. Trois cent quarante patients ont été inclus dans l'étude. Le recours à l'automédication était subordonné à la connaissance antérieure du symptôme (100% des cas). Douleurs (100% des cas), mal de tête (46% des cas) et rhume (46% des cas) dominaient les motifs de recours à cette pratique. La confrontation à un symptôme inconnu amenait les patients à consulter leur médecin (100% des cas). L'automédication était un réflexe et symptomatique pour 69% des patients. Internet était cité par 85% des patients comme source d'information santé, cependant seuls 39% des patients étaient préoccupés par la fiabilité des sites consultés. La possibilité d'achat de médicaments en supermarché était préférée (77% des cas) à l'achat de médicaments sur Internet (15% des cas). Le paracétamol était le médicament le plus utilisé. Quarante-sept pour cent des sujets étaient persuadés de l'innocuité des médicaments d'automédication. Localisation : DOCUMENTATION